TEMOIGNAGE ANONYME 

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« J’ai effectué 2 séances d’hypnose de régression à 6 mois d’intervalle. La première en novembre et la seconde en Mai. Chacune à durer à peu près 2 heures, sans compter la discussion préalable.

Bien sûr à la seconde je savais à quoi m’attendre et je suis parti tout de suite. Les 2 fois j’ai vécu des expériences de vies antérieures (2 pour la première et une pour la seconde), je me suis retrouver dans l’entre vie selon moi de façon probante lors de la deuxième séance et j’ai rencontré mes guides. Entre les 2 séances J’ai régulièrement communiqué avec mes guides. Je les avais informés que j’allais refaire une séance et donc les retrouver. C’est ce qui s’est produit et cette fois-là ils m’ont révélé leurs noms. Ces séances n’avaient aucun but thérapeutique, mais plutôt d’aller explorer l’inconnu, de découvrir des mondes sur d’autres plans et d’apprendre également sur soi, sur la nature de l’être humain. Mais je dois reconnaitre que j’en ai retiré un bénéfice sur le plan mental, émotionnel et même physique. L’impression d’être plus confiant, d’être mieux dans ma peau, mieux ancrée aussi. De me déployer. Cela apporte également une distance salutaire vis-à-vis des contingences matérielles. Concrètement, en analysant mon expérience, voici comment j’en appréhende le mode d’action. Lorsque nous viennent des visions, nous devons les verbaliser, cela fait partie de l’expérience et de la méthode. L’état de conscience modifié dans lequel nous nous trouvons ne nous prive pas de la capacité d’analyse, ni de celle de s’exprimer, autrement dit l’hémisphère gauche n’est pas court-circuité. De fait nous avons accès à notre mémoire et à notre inconscient. Aussi lorsque nous viennent des visions, nous les interprétons à notre manière et c’est là que notre culture intervient. C’est pour ça que nous pouvons avoir l’impression trompeuse d’imaginer, alors que la culture n’intervient qu’après coup, comme un filtre entre l’apparition de la vision et la verbalisation. Je me suis retrouvé sur un champ de bataille, et aussitôt mon cerveau à fait le rapprochement avec un documentaire que j’avais vu depuis longtemps sur la guerre de 30 ans. Je me suis demandé si j’inventais. Ce n’était pas le cas, ça se passait pendant les guerres napoléoniennes, comme l’indiquera la suite de la vision. Pour pallier ce phénomène il suffit de verbaliser tout de suite, dès que la vision survient, sans analyser. Autrement la culture interfère. Cependant cette interférence n’est pas inutile. En effet je me suis rendu compte que mes souvenirs nourrissaient les visions et je crois qu’ils nous sont nécessaire pour nous aider à verbaliser. Pareillement mes guides avaient l’apparence d’extra- terrestres comme on en voit dans les films. Ce qui est normal encore une fois. Nous disposons de mots limités pour compléter les visions qui nous viennent. Enfin c’est comme ça que je vois les choses. »